Mobility News #1

Dimanche 9 Juin : Le grand départ pour Porto !

Nous nous sommes tous rejoints à l’aéroport Charles de Gaulle avec ma classe, et devinez quoi ? Tout le monde était à l’heure à 4h du matin, un miracle digne des plus grands films de science-fiction. Ensuite, nous avons pris l’avion pour un vol de 2 heures, et là, c’était le festival des dormeurs. Mention spéciale à Mme Waag et Sébastien, les champions du ronflements, et à Dimitrije, l’homme aux jambes interminables qui aurait bien aimé que l’avion soit un peu plus spacieux.

À l’arrivée à l’aéroport de Porto, pause pipi obligatoire puis direction les familles d’accueil. Elles étaient toutes souriantes et sympas, on aurait dit qu’on leur avait promis des cadeaux. Ibtissem et moi (Lina) avons pris le métro avec notre nouvelle famille. Arrivées à la maison, Sergio nous a fait visiter et nous a donné les consignes, genre "ne mangez pas mes biscuits préférés". Ensuite, tout le monde au lit, même Sergio.

Réveil à 14h avec un festin royal : sandwichs aux œufs, barres de céréales protéinées et cerises fraîches cueillies chez la maman de Sergio, qui a un cerisier. Franchement, les cerises étaient tellement bonnes qu’on aurait pu les vendre au marché noir. À 15h30, départ pour rejoindre les autres à la station Trindade. On a un peu galéré à trouver le bon métro, mais heureusement, deux jeunes gars algériens et portugais nous ont guidées. Ils parlaient un peu français et nous ont raconté leur vie en mode "Vis ma vie à Porto". Finalement, on a retrouvé le groupe, avec quelques retardataires évidemment.

Nous sommes arrivées à la station Trindade, et là, c’était le début de notre aventure. On s’est promenés un peu dans Porto, genre des vrais touristes avec nos appareils photos et tout. On s’est pris des boissons et des patatas fritas (frite), parce que bon, on ne peut pas visiter Porto sans goûter aux frites locales, c’est la base. Ensuite, les profs nous ont dit : "Allez, quartier libre les jeunes, mais n’oubliez pas de rentrer à l’heure, sinon c’est la chasse au trésor pour vous retrouver !" Bref, on a eu notre dose de liberté, tout en respectant les horaires respectifs de nos familles, parce que bon, on n’est pas des sauvages non plus.

Lina

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